Sur les réseaux sociaux, l’indignation avait commencé à enfler depuis la semaine dernière. "Je vois passer des infos absolument alarmantes sur l’agression raciste de Beaune. Des gamins hospitalisés, au corps criblé de petites balles de plomb, en grande détresse psychologique. Pourquoi ce drame ne fait-il pas l’objet de condamnations politiques fortes et officielles ?" écrivait ainsi sur Twitter Laurence De Cock, historienne engagée à gauche.