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Repères contre le racisme, pour la diversité et la solidarité internationale

La Salvetat (34) : son eau qui pétille, ses fachos qui frétillent (La Horde)

10 Septembre 2017 , Rédigé par Repères anti-racistes Publié dans #Extrême-droite

D’abord simple aberration du net et source de moqueries, les Brigandes sont devenues en l’espace de deux ans, de par leur comportement sectaire, le cauchemar de nombreux habitants de la paisible ville de La Salvetat-sur-Agout. Publié initialement sur le site Le Pressoir, l’article ci-dessous, écrit par des Salvetois inquiètEs et excédéEs, revient sur leur implantation locale, leur proximité avec le maire et leurs pratiques pour le moins douteuses.   

C’est au début de l’été 2015 qu’on les a vus débarquer chez nous à La Salvetat-sur-Agout, dans les Hauts Cantons. Une quinzaine de jeunes gens, quelques enfants. BCBG style banlieue ouest parisienne. Ils se disaient musiciens, le groupe des « Ultra-Sixties », spécialité : les vieux tubes des années soixante. Une aubaine pour les bals troisième âge locaux, qui font le gros des activités culturelles du coin. Ils avaient acheté au lieu-dit Le Gazel la moitié d’une ancienne colonie de vacances, qu’ils aménageaient en studio d’enregistrement, et cherchaient partout des maisons à louer pour s’y loger. Pourquoi pas. Et les néos arrivés dans la région dans les années 1970-1980 se sont dans un premier temps démenés pour les aider à s’installer.

 

Il a fallu attendre le dossier de six pages de Louis Henri de la Rochefoucauld paru dans Technikart en décembre 2015, puis en février 2016 un article dans Le Point, pour découvrir que les « Ultra-Sixties » que nous connaissions étaient le cheval de Troie, et que à l’intérieur, on avait le groupe, le « clan », puisqu’il s’auto-dénomme ainsi, « Les Brigandes ».

 

Côté face, les Ultra Sixties (en haut) ; côté pile, les Brigandes.

Côté face, les Ultra Sixties (en haut) ; côté pile, les Brigandes.

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L
Elles sont à peine moins ridicules que les Fémen.
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